Natif de Bordeaux, j’ai quitté la ville pour découvrir les milieux ruraux  d’Europe pendant plusieurs années. C’est en Ardèche que je pose mes valises pour y pratiquer l’apiculture durant 5 ans. Au cours d’une recherche pour un rucher d’abeilles, j’ai pu rencontrer pour la première fois un arboriste grimpeur travaillant dans un châtaigner, et c’est avec passion qu’il me parla des pratiques, de son éthique ainsi que de l’approche de ce métier.

Ce n’est que quelques années plus tard que je décide de changer de vie, direction le Plateau de Millevaches afin d’y entreprendre une reconversion professionnelle au centre de formation forestière de Meymac.

Diplôme en poche et aujourd’hui chef d’entreprise, c’est avec fierté que
j’exerce le métier d’arboriste grimpeur en Gironde.

Les techniques utilisées pour l’accès au houppier, les déplacements dans l’arbre ou les techniques de coupes sont les même pour tous les arboristes qualifiés. Cependant, la philosophie et l’éthique quant à elles divergent
chez certains. Pour ma part, préserver l’arbre est une priorité.

C’est pourquoi j’aime prendre le temps, durant mes diagnostics, d’échanger avec mes clients au sujet d'alternatives possibles afin d’harmoniser au mieux l’entente entre l’arbre et l’humain.

L’arbre fait partie intégrante de notre écosystème, respectons le.